• petite interlude et prolongement d'articles musicaux.
    Et cette fois non pas du classique mais du jazz; je ne connais pas grand chose à la musique clasique, mais suis plus connaisseur en ce qui concerne le jazz et c'est pourquoi inmenquablement je vous présente Grover Washington Jr. malheuresemnt mort en 99.
    C'est un des rares saxophonistes à être reconnu comme un artiste à part entiere, j'entends par la qu'il ne fait pas de la simple figuration, du remplissage dans les albums jazz. Techniquement il est exellent, certe, mais il a le chose inexplicable qui fait frissonner et nous donne l'impression irrésistible que le morceau entendu ne nous lassera jamais.
    Je n'ai pas d'album à vous recommander particulierement, ils sont tous exellents. Si vous pensez ne pas être attiré par le jazz et que l'écoute d'un album entier vous désespere à l'avance ( ça éxiste malheuresement ) je vous recommande vivement une chanson particulierement jouissive, "winelight" grover accompagné par Marcus miller ( référence en basse guitare jazz ). Sans aucun doute une des meilleures chansons que j'ai écouté tout style confondu.
    Si malgrés tout vous n'aimez pas, les bornes Fnac permette depuis un bon moment deja d'écouter multiples Cd, je vous conseil donc d'écouter Marcus Miller; Charles Mingus ( le meilleur bassiste ); Miles Davis; ray charles; B. Mc Ferrin...
    Si vous êtes vraiment curieux du jazz, allez chez un disquaire ( spécialisé si possible ), je n'ai rien contre la fnac qui propose un large choix mais son quasi-monople conduit chaque année à la fermeture de nombreux petits disquaires qui ont réellement besoin de vous pour vivre; pour la Fnac, un cd de plus ou de moins...


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  • George Brassens nous l’a bien chanté de sa voix grave, avec sa guitare en bandouillère et ses grosses moustaches légendaires. « Le temps ne change rien à l’affai-aire : Quand on est con, on est con ». Certes ! On veut bien le croire, on l’a constaté mille fois. Mais, au fait, qu’est-ce qu’un con, au juste ? Les cons, vaste programme, et sujet d’actualité plus que jamais, qui mérite bien un article sur Oulala. Que dis-je, un livre, une encyclopédie, toute une bibliothèque. Les cons constellent notre environnement, et vous en croiserez plus d’un sur vos diverses trajectoires, je vous le prédis.
    Comme nous l’indique Pierre Desproges, cet expert ès-cons, « le mot "con" appartient à la langue française et à elle seule. Aucune langue étrangère ne peut se flatter de posséder un mot tout à fait équivalent au mot "con" ». Ce qui est à souligner, c’est que « con » est un terme générique assez mal défini et qui est difficile à expliquer mais que, quand on l’emploie à l’égard d’un individu qui mérite cet outrage, c’est le qualificatif qui lui va indiscutablement le mieux. Un peu comme la beauté, dont le chirurgien brésilien Ivo Pitanguy nous dit qu’elle est difficile à décrire mais que, quand on la rencontre, elle nous saute à la gueule. Les cons, c’est pareil ! Y’a pas à se gourer. C’est bien ce qu’exprime Michel Audiard quand il dit que « Un con, ça ne se définit pas, il faut donner des exemples ». L’éventail est assez large. Ça va du préposé derrière son guichet, membre recruté sur concours de l’administration, et donc confirmé dans sa position dictatoriale d’emmerdeur désagréable et incompétent, au président américain George Bush, qui recueille tous les suffrages au chapitre de la connerie, à défaut d’avoir recueilli suffisamment de vrais suffrages d’électeurs pour mériter son mandat. Il y a des endroits où l’on a un maximum de chances de rencontrer des cons. Au stade, ils crient « allez les verts », grimés de toutes les couleurs de leur drapeau national et jouant de la trompette avec plein de fausses notes. Après ils cassent les vitrines en ville, devenant des cons dangereux, et ivres. Derrière un volant, écrasant rageusement la pédale de leur bolide, doublant sur une ligne jaune, en attendant qu’un jour ils se retrouvent cons invalides ou cons meurtriers. À Lourdes où d’autres, pas cons eux par contre, leur fourguent de l’eau bénite et des statuettes en plastique vendus à prix d’or. Les cons sont souvent en uniforme, surtout militaire, avec des médailles qui pendouillent, signe irréfutable de leur appartenance à la congrégation, sujet de cet article. Rien n’est plus dangereux qu’un con qui a une parcelle d’autorité. Il y a des cons qui sont juges, flics ou inspecteurs des impôts. Quand on a le malheur de tomber sur un de ceux-là, gare...Les cons nous énervent. Le pire c’est quand on les voit disserter sur un plateau de télé.

    Le mot con est souvent employé seul, mais il s’orne volontiers d’adjectifs qui lui donnent alors une saveur particulière : Un petit con, un gros con, un jeune con, un vieux con, un vrai con, un con dangereux, un grand con, un sale con, un pauvre con. On peut être con comme un balai, avoir l’air con, être pas con, être une tête de con, ou encore être con sur les bords. Michel Audiard (encore lui) écrivait que « Les cons, ça ose tout, c’est même à ça qu’on les reconnaît », ajoutant que « J’parle pas aux cons, ça les instruit ». Et Frédéric Dard, un autre observateur admirable de la nature humaine écrivait « Je ne souhaite pas la mort des cons : j’aime trop mes semblables », déplorait qu’ « À notre époque les vieux cons sont de plus en plus jeunes », et affirmait que « Traiter son prochain de con n’est pas un outrage, mais un diagnostic ». Les cons sont souvent fanatiques et en bande, mais on en trouve aussi de remarquables exemplaires individuels. Ils ratissent un peu partout, et n’ont pas toujours l’air agressif ou antipathique. Ils peuvent avoir une bonne tête et être pétris de louables intentions, comme le con du "dîner de cons". Et ce n’est pas parce qu’ils sont un brin sympathiques qu’ils en sont moins cons, hélas ! Les moins cons d’entre-nous se moquent souvent des plus cons. Car la connerie n’est pas une dichotomie. La connerie s’échelonne du zéro à l’infini, en passant par toutes les étapes intermédiaires. Ceci dit, quand quelqu’un est qualifié de "con" plus souvent qu’à son tour, c’est qu’il a franchi les limites du raisonnable et que son cas est suffisamment sérieux et chronique pour mériter le label.

    Le con est définitivement irrécupérable, et son décalage par rapport aux autres est irréversible. N’essayez même pas, c’est voué à l’échec. Je dis ça parce que j’ai essayé trop souvent et j’ai été à chaque fois déçu. Y’a rien à faire. Contrairement à ceux qui peuvent être tant bien que mal éduqués, comme les idiots, les imbéciles, les enfoirés, soignés comme les malades de la folie, ou encore convaincus, et dont l’avis ou l’opinion peuvent être rapprochés des nôtres (sous-entendu : nous, les pas cons, bien sûr), le con conservera immuablement sa position du début, sans changer le cap d’un iota. Car le con, messieurs-dames, est impératif, péremptoire, et sûr de lui. Le con sait, et affirme sans douter. Le doute ne fait pas partie de son vocabulaire, et comme le dit encore Audiard, il ose tout, même les trucs les plus cons. C’est normal, il est con. Il ordonne à tous d’être de son avis. Faute de quoi, il les traite de cons. Le con, évidemment, ne se rend pas compte qu’il est con. Autrement il cesserait immédiatement de l’être ou, au moins, essaierait. Le con est le produit collectif de son environnement social ou familial, car je doute qu’on naisse con, bien que certains aient d’indéniables dispositions naturelles. Les cons sont nombreux. Ils sont, partout, en surnombre. Si on essayait de les éliminer physiquement, ce serait le plus grand génocide de l’histoire humaine. Ils sont tellement nombreux qu’ils définissent, selon Bouvard, la démocratie : « La majorité c’est cinquante pour cent de cons, plus un ». Sartre prétendait que l’enfer c’est les autres. C’est surtout les cons.


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  • Mais ils éxistent des résistants syndicalistes aux moustaches Bové's style et blousons moto by le Mans, qui s'accrochent à leurs principes comme la moule à son rocher ou un supporter à son écharpe. D'ailleurs le modéle de fusée de détresse de cet énergumène m'interresse beaucoup, le feu à durée pas loin de 10min, mais ce n'est la qu'une chose qui n'interresse que deux personnes sur ce blog. ( j'essairai à l'avenir d'éviter les phrases hérmétiques de ce genre, milles escuses )
    PS: vous remarquerez que des pubs pro-CPE sont en haut de page car mon ami l'UMP a acheté à google les termes Contrat Premiere Embauche, faite le test vous même c'est concernant.

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  • Bonjour,
    mardi dernier se tenait au Mans l'hebdomadaire manifestation anti-CPE, toujours une ambiance bon enfant mais sans scandement hystériques de la part des manifestant, une manifestation plutot calme, c'était étrange.
    Les manifestants bloquaient la rocade, et c'est devenue une idée tellement originale qu'ils le font toutes les semaines.
    On ne sait pas si le mouvement s'éssoufle comme un dernier râle avant la mort d'un blessé au Viet-nam, ou si il halete pour mieux repartir à la signature du permier CPE par exemple.
    La photo nous montre un brave homme, qui a accepté d'être  pris en photo et c'est bien gentil de sa part, qui illustre parfaitement l'idée le non-sens que prend les manifestations en ce moment, durant cette mobilisation, je n'ai pas entendu une fois des gens parler du CPE ( en dehors des slogans qui nous enbrumes à tous l'esprit, et mêmes aux meilleurs d'entre nous ).

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  • bonsoir à tous,
    comme un grand guerrier Lutin dont je tairai le nom mais il se reconnaitra, je me lamente que le musique classique soit considérée comme une musique réservée à une "élite", moi même j'en écoute, c'est pour vous dire qu'elle descend bien bas la musique sur l'échiquier intellectuel français !
    Donc petite leçon de "culture", quand vous vous ennuyez demandé à votre orchestre symphonique de venir vous jouer les 4 saisons de Vivaldi, sa détend.
    Mais je vous gratte votre inconscient céphalique en employant le terme de symphonique en vous vous demandez surement:- "mais Jean-Paul ( personne fictive )tu n'es pas inculte !"
    C'est la que j'interviens et que je me dis que j'ai bien fait d'apprendre la composition d'un orchestre symphonique un dimanche pluvieux.( mais j'avoue avoir la paresse de donner un plan exact car long et fastidieux )
    Donc sachez que ce type d'orchestre permet la plupart des oeuvres classiques, un probleme persiste car au 17-18eme les auteurs comme vivaldi ou bach étaient plutot imprécis dans leurs compositions et par conséquent leurs partitions n'étaient pas prédéstinées donc prédisposées à ce type de formation, donc en gros c'est un peu le bordel au début. ( ce n'est que vers Beethoven fin 18eme que les partitions voyaient leur fin en l'orchestre symphonique )

    On y trouve violons, violoncelles, hautbois, percusions,trompettes, tubas, bassons, contre-basses, clarinettes, altos, flutes, cors, 2 chwing-gums et trois crottes de nez.
    Le nombre d'intervenant peut s'élever jusqu'à 1000 ! ( compo' de Mahler ) mais il est plus généralement d'une petite centaines de musiciens. (et ne vous amusez pas à compter les musiciens de la photo, ils sont 87, vous etes trop prévisibles)

    La meilleure musique classique n'est pas Mozart ( l'année mozart m'exaspere ), trainez à la fnac ( ou autres disquaires ) bande d'inculte sinon vous finirez comme les pouffes à écouter du mauvais R'n'B ou encore du rap de merde ( blaspheme ), restez en éveil !

    PS: j'ai remarqué il y a peu que le classique moderne aimait jouer les 4 saisons en philharmonique, donc vivaldi ne se limite pas au shymphonique.


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