• Il me semble intéressant de répondre à commentaire qui mérite qu’on s’y attarde et c’est la raison pour laquelle j’y consacre une lettre, et non pas un insuffisant commentaire ; puisqu’il apporte un complément indéniable, mais surtout car il (ce complément) se pense être parfois en contradiction avec mon propos, ce qui est parfois à nuancer. Puisque toute thèse n’est pas destinée à être dogmatique, et so is an anti-thesis.

     

    « En effet, pouffiasse dans sa construction même est l'augmentatif de pouff » : nous sommes jusqu’ici d’accord.

     

    « La différence se réalise dans le fait que la pouffiasse met au service du "mal" tous les attributs de la pouff » : Ronan explique pour sa part que ces comportements ne représentent en rien le mal, ni l’envie de le commettre mais simplement la stupidité neutre. J’ajoute de mon côté que la poufiasse extrapole ceux-ci, or nous savons qu’il faut en tout conserver de la modération, sans quoi le caractère de ce qui est, franchit la frontière du mauvais, du bad. Ainsi, les comportements de la poufiasse sont mauvais, ce qui est d’ailleurs inhérent à la condition de sa situation. De cette façon, elle ne peut pas ne pas mettre les « attributs de la pouff au service du mal », qu’elle le fasse ou non de manière intentionnelle.

     

    « N'avoir ni foi ni loi » : il me semble contradictoire d’être sans foi ni loi et cependant mettre au service du mal quelconque caractère. L’individu sans foi ni loi n’agit que pour lui, si je puis résumer ainsi, il n’agit pas pour le mal, ne se met pas au service du mal, mais à son service propre. Vous apportez ici, à votre insu, une amélioration à ce que j’ai proposé (sans prétention d’être irréfutable, je le répète) : la poufiasse est sans foi ni loi, ne sert que son propre plaisir, et par conséquent est insensible –en apparence, l’on peut échapper à cette race. Elle ne peut donc avoir ni amie ni confident véritable, et c’est sans doute la raison pour laquelle il existe des groupes de poufiasses.

     

    « En fait pour être une pouffiasse il faut être vulgaire dans sa prose et dans son accoutrement » : ces conditions ne sont pas suffisantes, nombreuses sont les femmes qui sont vulgaires aussi bien dans leur « prose » que dans leur « accoutrement » ; la poufiasse relève d’une race, d’un genre, à la limite ; d’autant plus que les conditions citées peuvent être occasionnelles, et non permanentes. Et dans ce cas, les caractères ne sont donc pas propres à l’espèce que nous examinons –il faut qu’ils soient permanents.

     

    « Par exemple traîner dans la boue de manière gratuite la réputation de quelqu'un, ou se moquer ouvertement de quelqu'un dans la rue, voler du maquillage » : idem –il peut s’agit de critères occasionnels. De plus la poufiasse est bête, et ne peut donc, pour y revenir, agir par le mal pour le mal. Quelconque nécessiteuse peut voler du maquillage, ou le faire simplement par jeu est également possible. La réputation de quelqu’un, lorsqu’elle est finement détruite, ne peut être l’œuvre que de quelqu’un d’adroit, de brillant manipulateur, ce qui va à l’encontre de la condition de ladite race. Se moquer de quelqu’un ouvertement peut être une fois encore occasionnel, voire exceptionnel dans l’existence d’un individu : qui ne l’a jamais fait, même sans le vouloir, étant petit ?

     

    « Etre grosse » : quelle insulte est ici faite à la condition de grosse !

     

     

     

    J’ai, je le sais, pris chaque attribut séparément, mais cela dans le souci de clarification pour moi-même, et l’on peut donc me reprocher mon manque d’objectivité ; c’est faux, car réunis, ils ne constituent pas de critère qui soit propre à l’espèce. Non, bien que le commentaire initial m’ait apporté une conclusion nouvelle, et peut-être même un critère de reconnaissance de la poufiasse qui, ajouté aux deux que j’ai proposés, donne un nouvelle perspective à la poufiasse : ego démesuré (au sens originel), critère de sexualité, absence de règles internes.

     

     

    « Parler fort puisque ceux qui parlent fort = ceux qui n'ont rien à dire » : également insuffisant, même si ajouté aux critères proposés par le commentaire.

     

     

    Ceci (parler fort revient à n’avoir rien à dire) est d’ailleurs dans sa généralité largement réfutable, et nous pourrions en faire un sujet de conversation.

     

     

    Seulement, si l’intérêt du topic (poufiasse) est largement discutable, sachez que le seul intérêt de ce blog, synonyme aussi de fresque numérique (Romain Gautier) est de n’en avoir pas.

     

     

    Mais, très chère, non seulement accordâtes-vous du crédit à ce topic, mais il en fut par conséquent digne d’intérêt, et je vous en remercie…

     

    Rami

     


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  • Chers con-citoyens je voudrais faire part d'un complément à l'article de Ronan- aussi dit Brad Pitt.

     

    S'il est clair que le terme de "pouff" ne mérite pas qu'on s'y attarde plus, et ce grâce aux travaux de recherche de celui dont je prends la brève relève dans ce domaine, je crois qu'il existe un stade encore supérieur à celui du statut communément connu désormais.

    Indeed, l'on remarque que le suffixe "ass", si couramment employé dans les plus beaux mots de la langue française, (ex : anan-ass ; pète-ass ; chi-ass ; lime-ass ; l'-ass ; con-ass ; fugue-ass ; et même en latin avec "vade retro satan-ass"d'où l'expression "suppôt du diable) s'applique également à pouff.

    It is true, l'augmentation en sens de "pouff" est "poufiasse", dont on remarque la transformation du "f" en "i" (Lavoisier, Rien ne se crée, rien ne se perd, tout se transforme). Venons-en donc à la signification de ce dérivé.

     

    Poufiasse combine tout d'abord deux mots : pouff, et ass ; cette combinaison franco-anglo montre que les insultes méritées transcendent les barrières nationales et les querelles centenaires. Pouff, dont la définition exhaustive peut se lire et parfaitement se comprendre totally avec Ronan, je ne mentionnerai pas. Par contre, il me semble utile, afin d'être un peu plus clair, d'engager un nouveau paragraphe.

    Ass. Ce mot est très beau. Sa prononciation [aç] particulièrement accessible et à la fois d'un haut niveau linguistique va chercher ses racines très profondément. Indeed, en araméen, alors que Moïse traînait sur le mont qui porte depuis son nom -il avait perdu ses sandales- (remarquez le style de Perrault, qui feint de rappeler des choses dont jamais il n'a mentionné l'existence ; exemple : il mit les bottes de l'ogre -qui étaient magiques et s'accommodaient à la taille des pieds de ceux qui s'en chaussaient-) Dieu l'apostropha et s'exprima en ces mots : "Moïse ! C'est à toi qu'il appartient de porter les tables de la loi !" Mais ce dernier ne reconnut pas en cette voix un timbre familier, et poursuivit la quête aux sandales, bientôt interrompue par une nouvelle intervention semblable de Dieu, qui cette fois ajouta : Cherche dans les crevasses Moïse et tu trouveras ! Ce dernier se mit en route vers les trous qui parsemaient la montagne et, au même moment, un bandit surgit. Alors que Moïse s'apprêtait à répéter de vive voix "crevasses", le voleur surgit et s'écria "Crèves !", ce que le sauveur futur acheva par "-asses" et il trouva ses sandales à cet instant même, et ce fut à cet instant même que Dieu foudroya d'une foudre foudroyante la foudre du bandit de petit chemin. Dès lors, pour remercier Dieu, Moïse considérait que -ass fût un mot divin, d'où les dérives multiples que l'on connaît depuis, car tout-un-chacun sait que les crev-ass(es) sont d'un divin plaisir.

    Cette petit histoire terminée, je voudrais maintenant aborder la question primordiale. Poufiasse. Il s'agit donc, puisque les termes qui composent ce dernier sont desormais définis, d'un stade d'autant supérieur à "pouff" qu'il puise en des racines divines. Nous voyons par là-même que c'est sans doute aucun le stade le plus haut de la situation résultant du processus de pouffation, puis de poufiassisation. La poufiasse est d'abord une femme, mais nous savons qu'il existe chez les hommes, et les garçons des comportements qui se rapprochent de ceux des pouffs, et, a posteriori, des poufiasses.

    La poufiasse devient donc le poufieux au masculin -le masculin étant largement féminisé dans cette situation de poufieux, il deviendra par la suite poufiasse, ce qui ne rime en aucun cas avec l'homosexualité, topic, dears, qui n'est point abordé présentement.

    Reste qu'il faut tout de même définir quelques traits spécifiques (donc propres à l'espèce des poufiasses) à la r-ass poufiasse. La poufiasse extrapole tous les comportements que la pouf adopte, malgré elle, sans quoi on ne saurait réfuter son libre-arbitre, ce qui contredirait totalement la thèse de la pouf qui ne peut composer en son esprit de manière juste et rationnelle. Donc, elle extrapole, mais deux critères communs à toutes (il faut des exemples que je vous laisse le soin de trouver pour bien cerner quelques uns des specimen) : le premier est celui de l'ego incommensurablement grand, ce qui n'est pas en soi un défaut, mais surtout démesurément énorme par rapport à l'intérêt infiniment petit (pensez atomes) que suscite la poufiasse. Ensuite, intervient le critère sexuel, déterminant : la poufiasse se rapproche de la salope, sauf qu'elle est trop stupide pour le savoir, et que l'envie d'un rapport sexuel ne tient qu'à l'absence de cerveau.

     

    Rami.


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  • Mon cher frère m'ayant en quelque sorte laissé les clef de la maison il me paraît important, voir capital de préciser un élément encore jamais énoncé (à mon grand désespoir) dans ce recueil. L'intitulé de ce blog est « je haie les pouffes »or, qu'es qu'une pouffe. Projet complexe que de définir ces individu(e)s, comme vous pouvez le comprendre je ne me prononce pas encore sur le sexe de l'accusé(e) car je me dois d'avoir un avis extérieur et neutre sans tomber comme le fait souvent Antoine dans le machisme primitif qui le caractérise souvent. donc qu'es ce qu'une (ou qu'un) pouffe. pouffe:n.m. siége bas , rembourré. il est précédé de pouf: interj. Exprime un choc. Et suivit de pouffer: v.i. éclater de rire. Pour découvrir ensemble ce qu'est un(e) pouffe nous appliquerons donc la méthode dite universitaire. l'analyse sociologique est ici indispensable, nous allons donc partir du fait général pour cheminer peu à peu vers les détails nous aidant à mieux cerner la classe sociologique des pouffes si toutefois on peu parler de classe...pour en revenir à la genèse de cette analyse, parlons de cette définition issue du dictionnaire, la (ou le) « pouffe » n'apparaît pas, alors nous allons devoir nous contenter des termes ayant pris honteusement la place du mot rechercher. en résumé, la (ou le) pouffe serait érudit comme un siége bas, son apparition sur notre bonne veille terre serait un choc dans l'humanité, en outre, cet individu serait caractérisé par des éclats de rire répétés. Quel surprise de découvrir le sens du mot pouffe. Il n'est en fait qu'une chimère regroupant trois mots distinct.
    Voilà le sens du terme pouffe, or, sur le terrain, qu'es qu'une pouffe, car si on applique notre définition, la jeune fille décervelée ou le jean pierre pernault de la politique peut-être un(e) pouffe ( il est aussi utile qu'un siége, en effet il n'a pas encore compris que pour résoudre un problème il faut agir avant et non après les problèmes, de plus il marque un choc dans la chose politique française qui devient metting après metting un grand show à l'l'étatsunienne il rigole tout le temps car la population est à ses petits pied...)alors qu'es qu'un(e) pouffe? Il existe une définition subjective que nous pourrions officialiser ici même, en outre nous pourrions de suite la soumettre au neuf jedis du conseil constitutionnel car ils ont, en ce moment, une fâcheuse tendance à autoriser l'intolérable. donc lâchons nous les neuf vieux cons ne réagirons pas. Pouffe:n. mixte. Individu décervelé, évoluant principalement en milieu urbain (concentration notable chez les chauvins parisien), le rire stupide le caractérise, la (ou le) pouffe marque la limite entre le naïf (le con gentil) et le religieux (le con agressif et dénié de toute forme de raison).égocentrique par nature, la (ou le) pouffe a un goût certain pour l'inutile et le superflux. Ex:ohhhh, j'adore Kévin de la star ac 6.

    Voilà qui est fait. or avec les manifestations contre la loi égalité des chances et tout les contrat précaires dites « manifs anti-CPE » ma vision de la (ou le) pouffe a strictement changé. Car avant ces événements, la (ou le) pouffe était pour moi le symbole de ce que pouvait engendrer une société libérale, c'est à dire des êtres somnolant sans opinion, égocentrique, inutile, ne vivant que pour consommer et pour mourir sans faire de vagues . Mais aujourd'hui, les pouffes sont au sein des manifestation, le sourire aux lèvres, pinturluré de slogans multicolores et fier d'afficher sur leurs vêtement des autocollants. Il est facile de reconnaître une (ou un pouffe) dans ce genre de manifestation, nous avons l'impression qu'il y a une certaine compétition au sein du mouvement pour savoir qui va porter le plus d'autocollant, les tracts CGT se mêlant aux imbécillité made in CFDT et UNEF, et biensûr les multiples marques ornant leurs vêtements, quelle stupeur de voir un t-short « nike » fait aux philippines par des enfants au centre de deux autocollants l'un prônant la fin de la précarité et l'autre l'abolition du travail de nuit des enfants (article de loi du plan égalité des chances légalisant le travail de nuit à 15 ans).je pensais combattre égocentrisme et l'égoïsme mais je me suis vite rendu compte qu'au sein même de mon mouvement les 7/10ém des manifestant (lycéen) ne maîtrise pas le terme de précarité et on en fait le résonnement du front national: la précarité dans le monde?oui, mais pas chez nous. Voilà comment cerner une (ou on) pouffe.

    La (ou le) pouffe, ne dois, vous l'aurez compris pas s'appliquer qu'au sexe féminin. En effet, notre définition peut s'appliquer à certains jeunes hommes. D'ailleurs leurs plus grand représentant (non par sa taille ni par son rayonnement idéologique), n'est pas le plombier polonais, mais bien le technicien de surface d'origine hongrois qui seme sa matière fécale politique en France.
    Alors que faire en guise de conclusion? Qu'es qu'un pouffe? Es ce c'est petit bourgeois qui se sert de la manifestation comme un exutoire, es ce c'est jeune fille et c'est jeune homme égocentrique, es ce des individu fruit du néo-libéralisme sarkosien, ou es ce tout simplement le chef de ce dernier courant?
    Et si le pouffe n'était en fait tout simplement qu'un con?
    Au lieu de publier dans le journal officiel des contrat précaire, à quand lire dans ce journal l'augmentation des moyens pour l'éducation qui pourrait permettre une diminution relative de la jeunesse que nous caractérisons (nous représentant du bon goût et du bien pensant) de pouffe.sur ce...

    Romain 


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  • La France est en danger. Notre cher pays (oui le gaz a encore augmenté) est aujourd'hui touché de plein fouet par une maladie plus que dangereuse: j'ai nommé la beaufitude aigüe. Oui, je veux bel et bien parler des ces êtres à l'anatomie si étrange dans la mesure où leur estomac est capable de se dilater à l'extrème afin de pouvoir, lors de leurs confrontations entre congénères, ingugiter des centaines d'hectolitres de bières et autres breuvages distingués... Oui, je veux bel et bien parler de ces hommes (les femmes n'ont pas tous les torts) fans de tunning et adeptes de troisième mi-temps durant lesquelles s'échangent, tenez-vous biens, des diques d'un certain jean-philippe smeth. La France va mal, c'est moi qui vous le dis!

    Aussi j'ai l'honneur (23h30) de vous annoncer la création d'un organisme tout ce qu'il y a de plus démocratique, composé de ma personne et de votre argent, entèrement voué à l'étude de ces personnes hautement intéressantes ne serait-ce que d'un point de vue féminin (c'est pour dire...)

    Concrètement, je vous invite à m'envoyer sur mon adresse électronique vos témoignages et vos expériences qui ont eu lieu en présence de jackys, de josés, et autres joyeusetés... J'attends maintenant vos réactions et n'hésitez pas, je suis sûr qu'il y a de la matière: nous sommes en sarthe que diable!

    Ensemble, nous pouvons construire un monde meilleur, avec des personnes comme moi, comme...moi.

    Ronan (appelez-moi marty) : sex-drugs-rocknroll@hotmail.fr

    extrait du discours du candidat à la présidence intercamping de mouflons-en-champagne.


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  • Je sors de ma pionce

    On me regarde et m'dit :
    "T'es libéré ou tu fonces ?"
    Là je réponds sur un si :
    "-Non j'étais avec mes annales
    mais j'ai pensé à mon anus.
    -Pourquoi ?" Question banale...
    Sinon il y a risque de glisse
    Et il fallait que je susse
    La vérité... Que je visse
    Si les annales avaient vexé l'anus

    Elle demande : "-Tu fermes pas la porte ?
    -A quoi bon faut qu'l'odeur sorte
    sauf si tu veux que je suffoque
    dans ces senteurs de phoque"

    Elle rétorque :
    "Mais dans les toilettes, il y a une fenêtre"
    Elle avait oublié les moins dix degrés celsius
    qui avaient refroidi mon anus
    et le reste de mon être...

    La proximité des toilettes
    lui fit prendre la fuite
    et sans histoire ni suite
    Je replongeais dans mes annales
    et reposais sur la cuvette.

     

     

    A qui trouve la mélodie seront dédiées ces paroles douces.

    Rami 


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