• ouuuh je vous offre la premiere photo du reflex, une belle photo qui ne sert à rien, un commentaire qui ne sert à rien aussi.
    J'aimerais vous prévenir public chérie mon amour ( P.Desproges vous aurez reconnu ) que si il ya de nombreux problemes sur ce site : temps de chargement à la page d'acceuil, photos à la fin des textes etc...
    Pas d'inquiétude c'est tout à fait normal, blogg.org se reconstruit et il fond chié leur monde, mais il faut savoir faire preuve d'abnégation pour observer le progrés informatique, j'adore les informaticiens.

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  • qu'elle est l'intérêt de cette photo ? Vous me repondrez aucun, c'est faut. Cette photo a une histoire.
    Pendant ma balade ( à force d'en parler elle va devenir mythique, un peu comme ma prof de math ex atrice porno nazi ( berkk c'est caca ) ); donc pendant cette épopé légendaire je suis passé devant une ferme, ou et c'est incroyable il y avait des vaches. Je voulais m'approcher un maximum des ces écervellées au risque de m'épingler sur le grillage tel un Jésus sur sa croix, bien con.. Comme rien ne se passait comme prévu, plus je m'approchai plus elles reculaient, j'ai bien tenté le coup du randonneur du dimanche " vas-y gentille marguerite, comme tou es belle, vient manger l'herbe dans ma main" quenini ! c'est con une vache, je m'apprete à m'en aller car je pense que je vaut mieux qu'une vache.
    Au moment ou je me retourne elle me glorifie d'un pet royal qui résonna au plus profond de moi, suivi, vous l'imaginez par une sorte de chiasse en spray hautement acide. Je n'ose pas vous montrer les photos de cette acte, donc la photo de la vache est post-caca, et c'est à ce moment la qu'elle a dénié se rapprocher de moi, je suis trés tenace en ce qui concerne l'odorat mais cete vache dégagé une odeur insoutenable, un jour je publirais ces photo de chiasses si il y a demande.
    à bientôt pour de nouvelles aventures

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  • ahah tel fouine-man, pendant ma balade de petits vieux j'ai tenté de regarder le plus de choses possibles et de m'attarder sur des détails insignifiant, c'est en poursuivant cette logique que j'ai découvert avec stupeur ( ooh ) que l'ancien nom de la route ( oui la route pas la rue, ya rien à comprendre on est au Mans ) s'appellais, vous n'avez pas rêvé, " le mortier profond", qui me fait penser à un titre de mauvais film des années 50 ( ou 2000 je ne sais pas ). Comme quoi raisonner comme un papy, ça peut faire découvrir bin bin des chose  là ! hein !

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  • aléluia mes freres de musulmanie et de chrétien-city,
    enfin ai-je reçu mon reflex numérique d'une valeure de trés cher, il va me muscler le broit droit j'espere, car vous ne savez pas à quoi je ressemble quand je vais à la piscine du Maine en moule-boules ( mmmf j'imagine l'image que vous vous faites de moi, j'y prend plaisir, je dédis cette phrase à toute les pouffes que je déteste, walagen )
    Donc la bête pése 1.8kilos, sa pique le bras, c'est pourquoi aimant la douleur j'ai décidé de me balader aux alentours de ma maison compagnarde, comme le roukin est intelligent et prévoyant il n'enmene jamais avec lui de quoi le protéger de la pluie quand la météo prevoie de la grêle, donc balade de 3h trempé jusqu'au os ( et non pas au zoo ) ( c'est une image comme dirait mon compére Adrian le normand, " en réalité l'eau n'a pas franchi ma barrière épidermique" dixit ce héros légendaire Lutin ).
    Attendez vous donc à une expantion rapide du dévellopement de ce site.

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  • BHL


     

    L’ennui avec Bernard-Henri Lévy ce n’est pas seulement l’ennui. Car il nous ennuie, le B.H.L, c’est sûr, avec ses propos creux. Non, l’ennui avec lui c’est qu’il est franchement à côté de ses pompes, l’aspirant philosophe. Avec sa tronche bon chic bon genre de faux humaniste, il est assez pourri dans sa tête, rien à voir avec l’image qu’il s’évertue à nous donner. J’en veux pour exemple les perles inqualifiables dont il agrémente ses interviews. Et s’il a été entarté, c’était mille fois mérité. En fait ce mec mérite plus de pieds au cul que n’importe quel faux-philosophe qui pollue nos écrans de télé et tente de nous donner des leçons d’humanisme.

    Les sujets sur lesquels B.H.L tente d’exercer son manque de talent sont graves : La misère humaine, la guerre. Il a fait son fonds de commerce de ces tragédies, et transporte sa petite personne avec un billet de première classe et champagne à tous les repas pour venir ensuite nous rapporter, avec des sanglots dans la voix, une mimique de chien battu et des airs entendus, les malheurs qu’il a constatés de visu. Toujours déguisé en philosophe romantique, la chemise entr’ouverte, les cheveux ondulés lui déferlant sur le côté et les doigts manucurés, très 16ième arrondissement ou Neuilly-Passy. Une icône, propre sur lui, qui fait toujours bien, avec sa belle petite gueule et ses idées toutes faites, dans les colonnes des journaux insignifiants à la mode, au même titre que la rubrique des chiens écrasés. Ça meuble, et c’est pas bien méchant, du B.H.L, en tout cas ça ne restera pas à la postérité, ça serait étonnant.

    Il réserve parfois à des chaînes télévisées ou des radios étrangères la primeur de ses « réflexions inspirées » sur certains sujets, comme la guerre. Ainsi son interview avec Radio Canada il y a quelques mois, à l’occasion de la parution de son livre « Réflexions sur la guerre, le mal et la fin de l’histoire ». Il a tellement fait fort à cette occasion qu’il est encore plus critiqué au Québec qu’en France, lui qui avait été qualifié de « inventeur de la pensée jetable » par le magazine « Actuel » dans leur numéro 91 de Mai 1987. Déjà plus jeune il avait attiré l’attention sur son cas. B.H.L : un philosophe-Kleenex quoi ! Avec des idées, qui ne devraient servir qu’une fois, heureusement, et tout justes bonnes à jeter au panier. Le problème c’est qu’il rabâche inlassablement les mêmes références, les mêmes thèmes, les mêmes « idées » creuses. C’est normal. Quand on n’a rien d’intéressant à dire, on se répète, forcément, et B.H.L ne s’en prive pas.

    Il commença l’interview avec les Canadiens par des descriptions d’actions horribles et abominables commises dans des « trous d’enfer de la planète ». Jusqu’ici rien à dire. Mais il distingua ensuite les « guerres qui ont un sens », des « guerres qui n’ont pas de sens », et ce, en se plaçant dans la tête des combattants, qui savent, ou non, pourquoi ils se battent. Consternation des Québécois qui parlent le français, mais qui n’ont pas pigé tout de suite ce que le fumeux philosophe voulait dire. Tant mieux s’il le sait, lui, ce qui est juste ou non, ou s’il a la prétention de porter un jugement sur la question. Merci au philosophe de salon de nous indiquer ses critères. Pour moi, il y avait la guerre, et la paix. Le fait qu’il prétende que certaines guerres ont un sens n’a, pour moi, pas de sens. Et de continuer : « Le pacifisme est une connerie ». Ah bon ! Pour lui le vrai problème pour le philosophe, c’est de comprendre pourquoi il y a la guerre, les détails c’est moins grave, une « péripétie » mineure. Ah bon ! Exit du studio de B.H.L. Depuis il n’a jamais été réinvité, on se demande pourquoi.

    Merci Bernard-Henri Lévy, on est éclairé. Ça nous confirme ce qu’on savait déjà : C’est un nul, un médiocre sans talent qui se prend au sérieux, et qui est surtout sans intérêt pour la société. Car à quoi bon se prétendre philosophe, de pair avec les Platon, Socrate et n’être capable que de pondre des niaiseries qui feraient recaler un élève au bac !

    En parlant d’école, encore heureux que ce que gars-là ne soit pas enseignant.





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